Intelligence artificielle et le mauvais emploi de la technologie

Les recherches en la matière posent des questions éthiques non pas sur le strict plan religieux et philosophique qui sont du ressort de la superstition en provenance de cerveaux malades, mais sur le plan du Droit contre l'utilisation potentielle à des fins de contrôle de la population, d'esclavage par

une minorité d'autres malades composés de politiciens d' industriels et actionnaires que nous connaissons aujourd'hui.

 

Mais pour en revenir à l'espionnage incontrôlé et sauvage de la part des particuliers, des services de police, des entreprises et des politiciens, je réitère que les peines d'incarcération seront à vie pour la plupart d'entre eux, cela en raison des dégâts massifs qu'ils génèrent dans la vie des gens.

 

 

 

 

HAUTE POLICE

 

Seuls les Services Secrets français DCRI et DGSE seront habilités à utiliser ces outils et instruments du temps présent, mais aussi des temps futurs, ceci afin de protéger la population et les intérêts de la France contre une puissance étrangère.

Nous leur fourniront les ingénieurs et les outils. Mais il n'y aura pas d'entreprise privée prestataires de service pour leur fournir ce matériel. Le risque est trop élevé. L' État leur fournira tout, ils pourront ainsi travailler dans les meilleurs conditions.

 

 

 

SANCTIONS CONTRE LES ENTREPRISES

 

Le sort qui attend les entreprises qui fabriquent et vendent à la police et aux civils des logiciels espions:

-L'entreprise sera saisie par l'État qui la détruira.

-L' État saisira tout le matériel technologique et le mobilier qui s'y trouve pour n'en laisser que les murs.

-Les dirigeants et cadres dirigeants seront immédiatement incarcéré.

 

 

 

 

SANCTIONS CONTRE LA POLICE JUDICIAIRE

 

Les policiers qui utilisent les logiciels permettant les écoutes d'ambiances seront immédiatement mis à pied. Leurs ordinateurs saisies pour devenir propriété de l'État, puis ces fonctionnaires seront incarcérés.

 

 

 

 

SANCTIONS CONTRE LES PARTICULIERS

 

Les civils même mineurs seront immédiatement incarcérés et leurs ordinateurs et logiciels saisi par l'État. Les mineurs seront condamnés à 10 ans de prison ferme. Sans aucun espoir de sortie anticipé, avec inscription sur le casier judiciaire qui leur interdira tout accès dans la fonction publique et dans certaines entreprises privées.

L'espionnage de la vie privée avec les nouvelles technologie est considéré comme un acte criminel.

 

 

 

 

 

Xavier Jaffré

Tag(s) : #Elections présidentielles de 2012
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